Les sciences sont en interdépendances.

Toute connaissance est interdépendante des autres. Comment nous appuyer sur ces interdépendances, sur ce que nous savons du mouvement de la connaissance, sur la nécessité de l'altérité pour "construire des formes mentales qui nous font construire le monde", pour privilégier un développement humain qui prenne en compte et s'appuie sur le désir d'apprendre, l'expérience de la coopération, le questionnement critique des solutions proposées et des démarches engagées, le nécessaire bricolage dès que l'on est dans le vivant, la reconnaissance de l'altérité ?