Les réseaux d'échanges réciproques de savoirs.
CoursOutils transverses

1992-1996 : organisation et enracinements

Les réseaux s'organisent en régions ou en départements. Réussites et échecs. Financements aléatoires. Paradoxe vécu avec difficultés : on mesure la richesse de s'organiser pour qu'existent des pôles organisateurs et le risque de s'en remettre à « quelqu'un » pour relier, organiser, former. C'est aussi un temps où l'on expérimente autour de la Mémoire, individuelle et collective : état des lieux, ateliers d'écriture, formations d'animateurs d'ateliers d'écriture, réflexions sur les outils d'histoires de vie collectives. Inter-réseaux sur « Réseaux et citoyenneté active ».

Formations sur « Réseaux d'échanges réciproques de savoirs et création collective ». Développement des liens avec des Réseaux d'Europe, d'Amérique, d'Afrique. Conscience de construire, avec eux, une même histoire. Recherche collective : "Les réseaux d'échanges de savoirs et la vie dans la ville".

Du côté de la société : développement des colloques, recherches, rencontres sur la citoyenneté, lié à ce qui est lu comme une "désaffection" du politique. Questionnements sur l'emploi et réflexions sur le revenu d'existence.

1996-2000 : Reconnaissance sociale et productions de savoirs (page suivante)1987-1992 : Le choix d'une identité associative (page Précédente)
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