Dans le champ de l'économie solidaire : Une histoire croisée

Une place dans l'économie sociale, par définition des trois champs de l'économie sociale : coopératives, mutuelles, associations.

Cette place s'est concrétisée par des soutiens de la délégation à l'économie sociale, depuis qu'elle a existé, par des liens avec le CJDES (Centre des jeunes dirigeants de l'économie sociale), par une reconnaissance de notre part d'un héritage des grandes luttes sociales pour la solidarité, par des actions communes (interventions, formations...) avec des mutuelles, des entreprises d'insertion ; par la création par des réseaux d'entreprises de type insertion, lutte contre l'exclusion, intermédiaires.

Des croisements avec le Réseau d'économie alternative et solidaire : des membres du MRERS ont été membres du pilotage du REAS (Réseau d'économie alternative et solidaire). Des actions communes (restaurant à Amiens) ont été conduites.

Une reconnaissance institutionnelle :

• Par le Secrétariat d'Etat à l'économie solidaire : Les RERS ont été inscrits dans la liste des actions d'économie solidaire par le Secrétariat d'Etat. Interventions lors des Assises de l'économie solidaire. Intervention dans le colloque « Reconsidérons nos richesses ». Soutien financier du Secrétariat d'Etat.

• Par l'Université (Valenciennes, Montpellier, Liège, interventions, productions de Mémoire ou de rapport).

Une création commune avec le REAS, Culture et liberté et STAJ (Services techniques aux activités de la jeunesse) : Le MDS (Mouvement pour un développement solidaire). Des réalisations de tels RERS reconnues cohérentes avec la définition de l'économie solidaire (par exemple, un bistrot des savoirs à Beauvais).

La création de RERS par des pôles ou associations d'économie solidaire.

Des coopérations : par exemple, un travail avec une entreprise solidaire d'agrotourisme au Québec.

La création d'un Inter-réseaux « Réseaux et économie solidaire », dans le cadre du MRERS, pour identifier en quoi les RERS procèdent de l'économie solidaire et comment des Réseaux peuvent avancer davantage dans cette voie.

La participation de membres du MRERS au collectif associatif autour du rapport « Pour reconsidérer la richesse » de Patrick Viveret.