Nous les résumons :
Améliorer la productivité des partenaires, tout en réduisant la durée des études
Garantir à la maîtrise d'ouvrage la qualité, l'économie, les délais, donc les prix.
Accéder enfin à une ingénierie interopérable (un rêve réputé inaccessible dans le secteur du Bâtiment), permettre un travail collaboratif avec des outils informatiques.
Résoudre bon nombre de problèmes de coordination (environ 10 milliards d’Euros gaspillés chaque année en France).
Délocaliser les études (l’éclatement géographique des partenaires devient une contrainte incontournable en Europe et dans le monde).
Permettre une participation des petites structures (qui sont majoritaires dans l’économie du secteur du Bâtiment).
Agir aux différentes étapes de la vie d’un bâtiment (constituer un modèle numérique du bâtiment exploitable tout au long de sa vie).
Enfin, disposer d’un Langage Technique Unifié normalisé pour le secteur de la Construction.